30/07/2016
A REYKJAVIK, capitale de L'ISLANDE
Début juin 2010. Et le soleil ne veut pas se coucher.
L'église Hallgrimskirkja, on dirait une fusée
Une ville surpeuplée !!!
Une rue de Reykjavik
Autre rue de Reykjavik
Une demi-journée au Blue Lagon, piscine naturelle d'eau laiteuse à 36-39 degrés. Très prisé.
Blue Lagon
Vieux cimetière de RK, totalement intégré dans la nature
19:07 Publié dans Voyage | Lien permanent | Commentaires (0)
Ce jour-là, découverte de sites géologiques de grande importance
Jeudi 10 juin 2010.
Cratère de Kério, vieux de 6500 ans
Geysir
Fumerolles. On entend le bruit des vapeurs qui tentent de s'échapper de entrailles de la terre
Fumerolles de vapeur sulfureuse
Cascade de Gullfoss, l'une des plus célèbres d'Islande
18:18 Publié dans Voyage | Lien permanent | Commentaires (0)
3 jours dans le cadre magnifique de VIK (Islande)
jUIN 2010. Petit village de 330 habitants, capitale de la laine islandaise. Sous la pluie, nous tentons d'apercevoir les macareux.
Vik et sa plage de sable noir
Notre auberge à Vik
Vues du village
Toujours la petite église
17:48 Publié dans Voyage | Lien permanent | Commentaires (0)
En 4X4 à LANDMANNALAUGAR : le site volcanique le plus grandiose d'Islande
Juin 2010.
13:41 Publié dans Voyage | Lien permanent | Commentaires (0)
LAC DE JÖKULSARLON puis PARC NATIONAL DE SKAFTAFELL, au pied du Vatnajökull
Juin 2010.
Le lac Jökularson, profond de 200 m, est formé par l'arrivée d'une des langues glaciaires du Vatnajökull. Une merveille.
Le parc de Skaftafell est au pied du glacier Vatnajökull
Le B & B dominant le parc
Le Vatnajökull, le plus grand glacier européen, 9400 km2
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QUELQUES JOURS DANS LA CHARMANTE AKUREYRI, 2e ville d'Islande avec ses 17.300 habitants.
11:58 Publié dans Voyage | Lien permanent | Commentaires (1)
DANS LA PENINSULE DE SNAEFELLNESS (ISLANDE)
GRUNDARFJÖRDUR : où nous sommes attaqués par une colonie d'oiseaux. On ne s'approche pas impunément du territoire des Sterna Arctique
Ci-dessous STYKKISHOLMUR : la plus grande ville de la péninsule avec ses 1200 habitants. Elle est dominée par une église blanche à l'architecture surréaliste.
11:32 Publié dans Voyage | Lien permanent | Commentaires (1)
26/07/2016
Ce samedi-là à SAPA (Tonkin, Vietnam)
23 mars 2013. Hmong Noirs et Daos viennent des environs vendre de l'artisanat et des vêtements ethniques. Le marché de Sapa, quotidien, est très animé le samedi. Et la région est devenue l'un des hauts lieux touristiques du Vietnam.
En fin de journée, c'est le marché de l'Amour : les jeunes se réunissent dans l'espoir de trouver l'âme sœur.
Au marché de l'Amour
21:04 Publié dans Voyage | Lien permanent | Commentaires (1)
Ce jour-là à CAN CAU (TONKIN, VIETNAM)
Samedi 16 mars 2013. Je suis dans l'extrême Nord du Vietnam, à 9 km de la frontière chinoise, près de Bac Ha. Le marché coloré de Can Cau réunit tous les samedis plusieurs ethnies, en majorité les Hmong Fleurs ou Hmong bariolés
J'en ai plein les yeux. Des centaines de femmes règnent sur le marché. Les hommes s'occupent de la vente du tabac et du marché aux bestiaux situé à l'arrière. Ils ne lésinent pas sur l'alcool de maïs. La canne à sucre se pèle avec les dents. Pas beaucoup de fruits.
En route pour le marché
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25/07/2016
Séjour à CURITIBA, CIDADE DE VERRO
Janvier 2012. Je suis impressionné par l'architecture de verre,les nombreux parcs et l'organisation de cette capitale moderne du Sud-est brésilien.
Musée Oscar Niemeyer
Jardin botanique
Bus-tube, ligne rouge
Arrêt de bus
Arrêt de bus
Marché municipal de Curtiba, propre et organisé
14:57 Publié dans Voyage | Lien permanent | Commentaires (0)
24/07/2016
Ces jours-là dans la région de PARANAGUA (Jolie ville coloniale du Sud-est brésilien)
Janvier 2012. Paranagua et ses environs, Moretes et Antonina sont si plaisants que j'ai du mal à sélectionner les photos que je vais présenter. Il y en aura un certain nombre.
21:12 Publié dans Voyage | Lien permanent | Commentaires (0)
Ce jour-là à PARATI au sud-ouest de Rio
Janvier 2012. Agréable séjour dans ce petit port colonial aux rues pavées martelées par des voitures à cheval. Ses habitations colorées sont très bien conservées.
Beaucoup de touristes.
Dans un parc de la ville, nous partageons un banc avec un jeune homme longiligne accompagné d'une fillette d'environ sept ans. Ils sont particulièrement souriants et la conversation glisse assez vite sur l'embonpoint des Brésiliens. La population avait en effet bougrement grossi depuis notre dernier séjour.Il nous confie qu'il pesait plus de 130 kilos, sa sœur environ 220 avant de bénéficier de la pose d'un anneau gastrique et de la chirurgie esthétique qui suit pour enlever le surplus de peau qui pend Nous apprenons que le gouvernement brésilien se préoccupe de ce fléau.
19:15 Publié dans Voyage | Lien permanent | Commentaires (0)
Ce jour-là à Rio de Janeiro
10 janvier 2012. Quelle joie de revoir Rio vingt-quatre ans après. Toujours aussi animée, aussi vivante. Le coût de la vie a sérieusement grimpé par rapport aux autres capitales sud-américaines.
Le culte du corps est toujours aussi prégnant au Brésil. Je passe un après-midi à regarder les hommes et les femmes s'entraîner et jouer sur les plages de Copacabana, Imanema et Leblon.
Ce qui m'amuse le plus, c'est le jeu de futevolei, une variante du volley-ball puisque les joueurs ne touchent pas le ballon avec les mains mais avec le reste du corps (épaule, bras, torse, pieds)
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Ce jour-là à NAPIER (Nouvelle Zélande) Ville de l'art moderne
3 février 2006. Napier s'anime. La ville commémore aujourd'hui le 75e anniversaire du tremblement de terre qui détruisit son centre, reconstruit depuis dans le style Art déco. Ce qui en fait une ville très touristique.
Beaucoup de Néo Zélandais portent des habits d'époque. Certains sortent pour la circonstance des voitures des années 30.
Un coup de canon retentit à l'heure exacte du sinistre et les cloches de l'église se mettent à sonner.Helen Clark, premier ministre, descend de l'estrade en compagnie de la mairesse de la ville et les deux femmes se lancent dans un bain de foule des plus démocratiques sans protection policière. Un œil avisé peut déceler seulement deux gardes du corps.Tout un chacun peut les approcher et leur parler.
Une Eaubonnaise pose avec le premier ministre néo zélandais et la mairesse de Napier.
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Ce jour-là à COOBER PEDY : capitale australienne de l'opale
28 novembre 2004. Drôle de village. Environ 2500 habitants, 40 nationalités différentes cherchant à s'enrichir grâce aux mines d'opale. Aujourd'hui, il fait 38 degrés à l'extérieur, 50 degrés certains jours d'été et les hivers sont rigoureux. Aussi la plupart des gens vivent dans des maisons troglodytes.
Les conditions de travail sont si dures que les mineurs semblent jouer leurs vies à la loterie et accepter de mourir jeunes, environ 40 ans.
Sur une tombe, je lis cette épitaphe :"Have a drink on me" (buvez à ma santé) et plus loin sur un sol aride, un panneau caricaturant un terrain de golf, chose impensable dans la région : "Keep off grass (sortez de la pelouse).
Mines d'opale
Keep off grass
Maison troglodyte
Cimetière de Coober Pedy
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13/10/2013
Cejour-là à DARJEELING
Tashi delek !(Bonjour en tibétain)
Le drapeau international tibétain était à nouveau à l'honneur sur la place Chowrasta de Darjeeling le 16 mars 2008 après une série de manifestations pacifiques à l'occasion du 49e anniversaire du massacre par les Chinois de plus de dix mille Tibétains le 10 mars 1959 à Lhassa.
Ce nouveau mouvement de protestation réunissait des centaines de Tibétains ulcérés contre la violence des répressions perpétrées à Lhassa par l'occupant chinois. Assis à même le sol, une bougie à la main, les manifestants égrenaient avec ferveur des prières et des chants tibétains. Ils se levèrent ensuite, brandissant pancartes et banderoles condamnant la violence au Tibet et fustigeant le déroulement des prochains jeux olympiques à Pékin. Ils mirent le feu à un mannequin en chiffon représentant la Chine, se massèrent autour de la flamme et, tour à tour, piétinèrent avec acharnement les débris de l'ennemi en criant :
« What do we want ? Freedom. What do we want ? Justice. »
Les photos de Gandhi et du Dalai Lama en tête du cortège, des dizaines de moines entamèrent une marche à travers la ville entraînant un impressionnant groupe de femmes tibétaines en habit traditionnel, des écolières en uniforme, des jeunes, des vieux. Ils portaient des drapeaux tibétains et des panneaux où l'on pouvait lire : Free Tibet, Save Tibet, Tibet belongs to Tibetan, Stop violation in Tibet.
Roberto Sanchez se joignit au cortège. Il sait ce que sont l'exil et la répression. Il compatit à la tristesse et à l'indignation du peuple tibétain.
Darjeeling (Inde) 16 mars 2008
06:29 Publié dans Voyage | Lien permanent | Commentaires (0)
15/10/2008
Ce jour-là en Equateur : la rançon
Le bus parcourait d'un rythme lent la sierra équatorienne avec, à son bord, un petit groupe de touristes français. Le guide-accompagnateur Roberto Sanchez interrompit subitement son discours d'informations et son visage se figea. Une trentaine d'Indiens venait de faire irruption sur la route, barrant le passage à l'aide d'un volumineux tronc d'arbre qu'ils manipulaient grâce à une poulie. Les hommes étaient menaçants, armés pour la plupart de gourdins. Un bon nombre d'entre eux était ivre.
Le chauffeur coupa le moteur. Les indigènes réclamaient de l'argent, les étrangers ne cachaient pas leur indignation de se voir ainsi rançonnés. La tension montait à l'intérieur du car. Même les plus progressistes étaient offusqués de ce qu'ils considéraient comme un racket.
Roberto prit alors le micro et conseilla d'obtempérer avant que les esprits ne s'échauffent trop. Tout en condamnant l'agression, il entreprit de calmer le jeu en expliquant rapidement que l'obole, la dîme, le péage ou le «toll» - peu importait le nom - qu'on les invitait à payer pouvait être considéré comme le droit de fouler la terre dont les Indiens avaient été spoliés. Et cet impôt allait directement dans leurs poches et non dans celles d'un Etat corrompu et injuste.
Il remit une petite liasse de dollars au chef. Le tronc d'arbre fut enlevé aussitôt et le car reprit sa route.
Equateur 1989
13:52 Publié dans Voyage | Lien permanent | Commentaires (0)
08/10/2008
CE JOUR-LA A GANGTOK, CAPITALE DU SIKKIM
On répète à l'envi que l'Inde est sale et qu'elle regorge de mendiants. L'état du Sikkim échapperait-il à ces clichés ? Le parti au pouvoir, le Sikkim Democratic Front (SDF), passe pour un grand protecteur de l'environnement et le gouvernement central indien a beaucoup investi dans la région pour contenir les visées du grand voisin chinois.
Un gong en cuivre retentit. Il annonce l'arrivée d'un camion-poubelle. Toutes affaires cessantes, les habitants du quartier s'emparent des paniers, des seaux, des boîtes de carton, des sacs de toile ou de paille contenant leurs ordures et les tendent aux préposés pour un premier tri sélectif. Les « plastic bags » sont rares dans le pays du Khangchendzonga.
À l'autre bout de la rue, un autre camion livre des bouteilles de gaz. Les clients, nombreux, les embarquent dans des taxis ou utilisent les services de porteurs à la mode tibétaine. Le charbon de bois n'est utilisé que dans les villages car le gouvernement local protège la forêt sikkimoise et tente de damer le pion au Népal pour le trekk et le tourisme vert.
Gangtok(Inde du Nord) 2008
06:27 Publié dans Voyage | Lien permanent | Commentaires (0)
10/09/2008
Ce jour-là à KOLKATA ( Calcutta ) : Brève rencontre avec un rickshaw-wallah
Un rickshaw rata son virage et continua à l'horizontale sa course effrénée sur une dizaine de mètres. Son conducteur fut projeté à l'extérieur et sa tête heurta violemment le macadam. Un policier releva le rickshaw-wallah groggy et le traîna négligemment au bord de da chaussée. Il lui jeta ensuite sa bouteille d'eau restée dans la cabine. Des curieux se pressèrent autour du véhicule, plus soucieux d'évaluer les dégâts matériels que de porter assistance au chauffeur.
Témoin de la scène, Roberto Sanchez en fut choqué : l'accidenté a été manipulé sans précaution ; aucun secours n'a été réclamé. Pourtant le choc fut d'une telle violence qu'un traumatisme crânien semblait inévitable. Dans les heures qui suivraient, le pauvre homme pourrait bien s'enfoncer dans un coma profond. Mais que vaut en Inde la vie d'un rickshaw-wallah s'il est de surcroît un intouchable ? Roberto eut une pensée pour la famille du chauffeur qui attendrait son retour ainsi que le maigre gain de la journée. Se forçant à relativiser, il se dit que le quotidien des rickshaw-pullers ou hommes-chevaux, est encore plus précaire, plus difficile et plus périlleux. Souvent pieds nus, par tous les temps, ils tirent carrioles et passagers à travers les rues encombrées et parfois défoncées de Calcutta
Calcutta 2008. Rickshaw et pousse-pousse .
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29/04/2008
Ce jour-là à BODHGAYA (INDE) : Le 3e festival annuel de chants boudiques.
Plus d'un millier de moines asiatiques sont réunis sous un chapiteau. Drapés dans leurs épaisses robes jaunes, ocres, safran ou bordeaux, crânes rasés ou cheveux très courts, ils attendent la distribution du repas. C'est le 3e festival annuel de chants boudhiques à Bodhgaya, le plus important lieu de pèlerinage boudhiste au monde.
Non sans nonchalance, ils envahissent ensuite par petits groupes la rue qui conduit au magnifique temple de la Mahabodhi pour la cérémonie du Puja. Ils prennent place à même le sol, en rangs serrés, sous l'Arbre Sacré où lord Boudha aurait reçu l'illumination, ouvrent leur manuel de prières rédigé en pali, la langue du boudhisme, et s'oublient dans un chanting qui durera tout l'après-midi. Le gong rythme les chants. Les haut-parleurs les amplifient et plongent moines et pèlerins dans un profond recueillement.
Pieds nus, mains jointes, bracelets porte-bonheur aux poignets, les visiteurs égrènent de longs chapelets en arpentant la promenade qui entoure le temple principal. Les plus fervents se mettent régulièrement à plat ventre, les bras en avant. Ils viennent de tous les pays d'Asie, revêtent des costumes très différents, du sarong blanc au saree de couleurs, du lungi au dhoti et à la tunique, du turban au bonnet. Les Tibétains sont reconnaissables à leur moulin à prières. Ceux qui sont assis sous les immenses branches de l'Arbre Sacré guettent les rares feuilles qui s'en détachent. De temps en temps arrivent des délégations de pays voisins conduites par des moines. Elles portent avec dévotion une bande de tissu jaune de la couleur de la robe de Boudha. Certains pèlerins vaporisent l'air de parfum, d'autres brûlent de l'encens. Les murs du temple sont ornés de guirlandes de fleurs. Tous les recoins du parc sont envahis de visiteurs actifs qui prient en chœur ou qui se prosternent ostensiblement. Les arbres sont décorés de petits drapeaux de toutes les couleurs.
À la tombée de la nuit, les moines font la pause. Des milliers de petites ampoules multicolores illuminent les arbustes, les stuppas, les murs d'enceinte du parc et les pèlerins font brûler des centaines de petites bougies dans la pénombre d'une salle de verre.
Ce festival, organisé par la Fédération Internationale du Boudhisme, s'est tenu du 12 au 23 février 2008.
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