16/05/2017
Ce jour-là à RANGOON, capitale de Myanmar (anciennement Burma ou Birmanie)
Février 2017
Si Rangoon est en pleine métamorphose depuis l'ouverture du pays en 1990, si les investisseurs du monde entier y affluent (notamment les Chinois), on la désigne encore sous l'expression de : la ville aux pagodes d'or.
Arpentons aujourd'hui ses rues embouteillées, observons les façades souvent défraîchies de ses immeubles, traversons ses marchés de plein air et réfugions-nous dans ses pagodes : la Shwedagon d'abord, la plus belle du monde puis la Sule Pagoda dans le downtown.
SHWEDAGON
SULE PAGODA
15:23 Publié dans Voyage | Tags : rangoon, birmanie | Lien permanent | Commentaires (0)
15/05/2017
Ce jour-là au LAC INLÉ (Birmanie)
Février 2017
Je pose mon vélo au bord du chenal de Nyaungshwe d'où des pirogues à moteur partent pour le Lac Inlé situé à environ 4 km.
Verrai-je, comme jadis, des pêcheurs Intha, une minorité ethnique, debout sur leur pirogue et pagayant d'une jambe ? Leurs mains restant libres pour lancer la nasse qui attrapera les carpes.
Le trafic est intense sur le chenal. Plein de barques à moteur qui rivalisent de vitesse d'où sortent des effluves de pétrole envahissant l'air ambiant.
Au débouché du canal, deux Intha prennent la pause pour les touristes en manœuvrant la rame de leur jambe. En fait, la traditionnelle et originale technique de pêche a été complètement abandonnée.
Heureusement, le lac Inlé, entouré de montagnes, est toujours aussi magnifique. Il est parsemé de villages avec des habitations sur pilotis et des temples pleins de ferveur.
18:01 Publié dans Voyage | Tags : lac inlé | Lien permanent | Commentaires (0)
Ce jour-là à BAGAN (Birmanie)
Février 2017
Lors de ma première visite ici il y a 25 ans, Bagan était un petit village. Aujourd'hui, la ville se divise en trois parties : Nyaung Oo au nord, Old Bagan au centre et New Bagan au sud. Le scooter électrique de location est le meilleur moyen pour découvrir ces différents quartiers et le site archéologique.
Je me lève tôt, avant que le soleil ne tape trop et je pars à la visite des temples et des pagodes. Ils sont des milliers. Je suis plongé hors du temps.
08:17 Publié dans Voyage | Tags : bagan, birmanie | Lien permanent | Commentaires (0)
14/05/2017
Ce jour-là à PAKOKKU (BIRMANIE)
Février 2017
Pakokku est une petite ville birmane située sur les bords du fleuve Irrawaddy, non loin de Bagan. Au cours de ma promenade dans ses ruelles pittoresques, je suis séduit par le charme et la gentillesse des habitants.
Une escale agréable dans le centre du pays, loin du flot de touristes.
11:28 Publié dans Voyage | Tags : pakokku, birmanie | Lien permanent | Commentaires (0)
13/05/2017
Ce jour-là à MANDALAY (BIRMANIE)
Février 2017
Je me fraye difficilement un passage dans des ruelles congestionnées de la seconde ville de Birmanie
Les Birmans se distinguent vraiment de leurs voisins asiatiques. Malgré les risques de cancer de la bouche et de la gorge, les hommes, en particulier, sont légion à avoir les lèvres et les dents rouges parce qu'ils mâchent du bétel, ce mélange de tabac, de noix d'arec, de chaux et parfois d'épices contenu dans des feuilles fraîches de palmier à bétel.
J'ai du mal à comprendre leurs propos car ils parlent la bouche pleine.
Ces petites feuilles vertes de bétel ont un effet stimulant et la noix d'arec est un anti-douleur.
Ce sont plutôt les pauvres qui chiquent le bétel.
Ce qui frappe aussi le regard, c'est que les femmes et les enfants birmans ont, pour la plupart, le visage badigeonné d'une pâte jaunâtre, anti-rides, anti-coup de soleil, anti-acné et anti-mycosique qu'on appelle : tanaka. La poudre se répand tantôt sous forme de deux ronds couvrant les joues, tantôt sous forme de dessins artistiques.
Les étals de buchettes de tanaka fleurissent sur tous les marchés. Il ne reste plus qu'à râper le bois et ajouter un peu d'eau à la poudre.
Le tanaka se vend aussi en boîte, déjà préparé.
On en trouve sur Internet.
C'est le maquillage préféré des femmes birmanes.
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29/08/2016
INVITATION
Pour le lancement de mon nouvel ouvrage,
LES LARMES D'HAÏTI
ISBN : 978-2-343-09421-2
Editions L'Harmattan
Collection Lettres des Caraïbes
Une Rencontre-Signature sera organisée
le vendredi 16 septembre 2016 de 19h à 21h
Espace L'Harmattan 21 bis, rue des Ecoles
75005 PARIS. Métro Maubert-Mutualité.
COCKTAIL
16:05 Publié dans Livre | Tags : haïti, histoire | Lien permanent | Commentaires (0)
30/07/2016
A REYKJAVIK, capitale de L'ISLANDE
Début juin 2010. Et le soleil ne veut pas se coucher.
L'église Hallgrimskirkja, on dirait une fusée
Une ville surpeuplée !!!
Une rue de Reykjavik
Autre rue de Reykjavik
Une demi-journée au Blue Lagon, piscine naturelle d'eau laiteuse à 36-39 degrés. Très prisé.
Blue Lagon
Vieux cimetière de RK, totalement intégré dans la nature
19:07 Publié dans Voyage | Lien permanent | Commentaires (0)
Ce jour-là, découverte de sites géologiques de grande importance
Jeudi 10 juin 2010.
Cratère de Kério, vieux de 6500 ans
Geysir
Fumerolles. On entend le bruit des vapeurs qui tentent de s'échapper de entrailles de la terre
Fumerolles de vapeur sulfureuse
Cascade de Gullfoss, l'une des plus célèbres d'Islande
18:18 Publié dans Voyage | Lien permanent | Commentaires (0)
3 jours dans le cadre magnifique de VIK (Islande)
jUIN 2010. Petit village de 330 habitants, capitale de la laine islandaise. Sous la pluie, nous tentons d'apercevoir les macareux.
Vik et sa plage de sable noir
Notre auberge à Vik
Vues du village
Toujours la petite église
17:48 Publié dans Voyage | Lien permanent | Commentaires (0)
En 4X4 à LANDMANNALAUGAR : le site volcanique le plus grandiose d'Islande
Juin 2010.
13:41 Publié dans Voyage | Lien permanent | Commentaires (0)
LAC DE JÖKULSARLON puis PARC NATIONAL DE SKAFTAFELL, au pied du Vatnajökull
Juin 2010.
Le lac Jökularson, profond de 200 m, est formé par l'arrivée d'une des langues glaciaires du Vatnajökull. Une merveille.
Le parc de Skaftafell est au pied du glacier Vatnajökull
Le B & B dominant le parc
Le Vatnajökull, le plus grand glacier européen, 9400 km2
12:31 Publié dans Voyage | Lien permanent | Commentaires (1)
QUELQUES JOURS DANS LA CHARMANTE AKUREYRI, 2e ville d'Islande avec ses 17.300 habitants.
11:58 Publié dans Voyage | Lien permanent | Commentaires (1)
DANS LA PENINSULE DE SNAEFELLNESS (ISLANDE)
GRUNDARFJÖRDUR : où nous sommes attaqués par une colonie d'oiseaux. On ne s'approche pas impunément du territoire des Sterna Arctique
Ci-dessous STYKKISHOLMUR : la plus grande ville de la péninsule avec ses 1200 habitants. Elle est dominée par une église blanche à l'architecture surréaliste.
11:32 Publié dans Voyage | Lien permanent | Commentaires (1)
26/07/2016
Ce samedi-là à SAPA (Tonkin, Vietnam)
23 mars 2013. Hmong Noirs et Daos viennent des environs vendre de l'artisanat et des vêtements ethniques. Le marché de Sapa, quotidien, est très animé le samedi. Et la région est devenue l'un des hauts lieux touristiques du Vietnam.
En fin de journée, c'est le marché de l'Amour : les jeunes se réunissent dans l'espoir de trouver l'âme sœur.
Au marché de l'Amour
21:04 Publié dans Voyage | Lien permanent | Commentaires (1)
Ce jour-là à CAN CAU (TONKIN, VIETNAM)
Samedi 16 mars 2013. Je suis dans l'extrême Nord du Vietnam, à 9 km de la frontière chinoise, près de Bac Ha. Le marché coloré de Can Cau réunit tous les samedis plusieurs ethnies, en majorité les Hmong Fleurs ou Hmong bariolés
J'en ai plein les yeux. Des centaines de femmes règnent sur le marché. Les hommes s'occupent de la vente du tabac et du marché aux bestiaux situé à l'arrière. Ils ne lésinent pas sur l'alcool de maïs. La canne à sucre se pèle avec les dents. Pas beaucoup de fruits.
En route pour le marché
10:55 Publié dans Voyage | Lien permanent | Commentaires (0)
25/07/2016
Séjour à CURITIBA, CIDADE DE VERRO
Janvier 2012. Je suis impressionné par l'architecture de verre,les nombreux parcs et l'organisation de cette capitale moderne du Sud-est brésilien.
Musée Oscar Niemeyer
Jardin botanique
Bus-tube, ligne rouge
Arrêt de bus
Arrêt de bus
Marché municipal de Curtiba, propre et organisé
14:57 Publié dans Voyage | Lien permanent | Commentaires (0)
24/07/2016
Ces jours-là dans la région de PARANAGUA (Jolie ville coloniale du Sud-est brésilien)
Janvier 2012. Paranagua et ses environs, Moretes et Antonina sont si plaisants que j'ai du mal à sélectionner les photos que je vais présenter. Il y en aura un certain nombre.
21:12 Publié dans Voyage | Lien permanent | Commentaires (0)
Ce jour-là à PARATI au sud-ouest de Rio
Janvier 2012. Agréable séjour dans ce petit port colonial aux rues pavées martelées par des voitures à cheval. Ses habitations colorées sont très bien conservées.
Beaucoup de touristes.
Dans un parc de la ville, nous partageons un banc avec un jeune homme longiligne accompagné d'une fillette d'environ sept ans. Ils sont particulièrement souriants et la conversation glisse assez vite sur l'embonpoint des Brésiliens. La population avait en effet bougrement grossi depuis notre dernier séjour.Il nous confie qu'il pesait plus de 130 kilos, sa sœur environ 220 avant de bénéficier de la pose d'un anneau gastrique et de la chirurgie esthétique qui suit pour enlever le surplus de peau qui pend Nous apprenons que le gouvernement brésilien se préoccupe de ce fléau.
19:15 Publié dans Voyage | Lien permanent | Commentaires (0)
Ce jour-là à Rio de Janeiro
10 janvier 2012. Quelle joie de revoir Rio vingt-quatre ans après. Toujours aussi animée, aussi vivante. Le coût de la vie a sérieusement grimpé par rapport aux autres capitales sud-américaines.
Le culte du corps est toujours aussi prégnant au Brésil. Je passe un après-midi à regarder les hommes et les femmes s'entraîner et jouer sur les plages de Copacabana, Imanema et Leblon.
Ce qui m'amuse le plus, c'est le jeu de futevolei, une variante du volley-ball puisque les joueurs ne touchent pas le ballon avec les mains mais avec le reste du corps (épaule, bras, torse, pieds)
15:26 Publié dans Voyage | Lien permanent | Commentaires (0)
Ce jour-là à NAPIER (Nouvelle Zélande) Ville de l'art moderne
3 février 2006. Napier s'anime. La ville commémore aujourd'hui le 75e anniversaire du tremblement de terre qui détruisit son centre, reconstruit depuis dans le style Art déco. Ce qui en fait une ville très touristique.
Beaucoup de Néo Zélandais portent des habits d'époque. Certains sortent pour la circonstance des voitures des années 30.
Un coup de canon retentit à l'heure exacte du sinistre et les cloches de l'église se mettent à sonner.Helen Clark, premier ministre, descend de l'estrade en compagnie de la mairesse de la ville et les deux femmes se lancent dans un bain de foule des plus démocratiques sans protection policière. Un œil avisé peut déceler seulement deux gardes du corps.Tout un chacun peut les approcher et leur parler.
Une Eaubonnaise pose avec le premier ministre néo zélandais et la mairesse de Napier.
14:46 Publié dans Voyage | Lien permanent | Commentaires (0)
Ce jour-là à COOBER PEDY : capitale australienne de l'opale
28 novembre 2004. Drôle de village. Environ 2500 habitants, 40 nationalités différentes cherchant à s'enrichir grâce aux mines d'opale. Aujourd'hui, il fait 38 degrés à l'extérieur, 50 degrés certains jours d'été et les hivers sont rigoureux. Aussi la plupart des gens vivent dans des maisons troglodytes.
Les conditions de travail sont si dures que les mineurs semblent jouer leurs vies à la loterie et accepter de mourir jeunes, environ 40 ans.
Sur une tombe, je lis cette épitaphe :"Have a drink on me" (buvez à ma santé) et plus loin sur un sol aride, un panneau caricaturant un terrain de golf, chose impensable dans la région : "Keep off grass (sortez de la pelouse).
Mines d'opale
Keep off grass
Maison troglodyte
Cimetière de Coober Pedy
11:31 Publié dans Voyage | Lien permanent | Commentaires (2)
03/06/2016
NOUVEAU : LES LARMES D'HAÏTI, roman historique de Mario Blaise
Le Lambi ou Strombe géant, symbole de la révolte des Esclaves
Les larmes d'Haïti
Éditions L'Harmattan
Collection: Lettres des Caraïbes
ISBN 978-2-343-09421-2. Juin 2016. 241 pages.
http://www.editions-harmattan.fr/index.asp?navig=catalogue&obj=livre&no=50853
Quel a été le destin des esclaves noirs venus d'Afrique et transportés à Saint-Domingue, la plus riche colonie française de l'époque ?
Comment ont-ils pu se libérer, enterrer Saint-Domingue et faire naître Haïti ?
Où sont alors passés les enfants que les colons-blancs ont eus pendant des siècles avec les négresses ? Comment se sont-ils comportés ?
Les larmes d'Haïti brosse les parcours palpitants de deux familles haïtiennes, une lignée noire et une lignée mulâtre, depuis le XVIIIe siècle jusqu'à nos jours alors que se déroule l'histoire tourmentée du pays.
16:15 Publié dans Livre | Lien permanent | Commentaires (1)
02/02/2015
AVIS DE PARUTION & INVITATION
A l'occasion de la sortie de mon nouvel ouvrage :
HISTOIRES DE MIGRANTS. Africains de l'Ouest, Domiens et Haïtiens.
ISBN : 978-2-343-05369-1
Diffusion L'Harmattan. Éditions Les Impliqués.
Une Rencontre-Signature sera organisée autour d'un verre
le jeudi 26 mars 2015 de 19h à 21h
Espace L'Harmattan 21 bis, rue des Ecoles 75005 PARIS.
Métro Maubert-Mutualité, ligne 10
09:17 Publié dans Livre | Lien permanent | Commentaires (0)
12/01/2015
NOUVEAU EN LIBRAIRIE : HISTOIRES DE MIGRANTS. Africains de l'Ouest, Domiens et Haïtiens
Diffusion L'HARMATTAN. Éditions LES IMPLIQUÉS.
Mario Blaise
ISBN : 978-2-343-05369-1
http://www.editions-harmattan.fr/index.asp?navig=catalogue&obj=livre&no=45617
À la fois enquête et fiction, ce récit retrace les vies de plusieurs personnages qui ont quitté leur pays natal pour des raisons politiques, économiques ou autres, persuadés de trouver une vie meilleure en France.
Les tribulations d'Estéram Toussaint, Abderamane Dia, Anne-Marie Lochard et les autres dénotent que leurs vies ne furent pas de longs fleuves tranquilles. Ils eurent à se battre, souvent le nœud de l'angoisse à la gorge, pour assurer leur subsistance et envoyer de l'argent au pays. Ces combats furent d'autant plus difficiles qu'ils durent se colleter avec les difficultés d'un nouvel environnement plutôt hostile, difficultés qu'ils sous-estimaient, pour utiliser un euphémisme. Nombre d'observateurs avertis pensent que les migrants sont de véritables héros.
Les pères sont venus, les mères et les enfants les ont rejoints, certains enfants sont arrivés tout seuls comme dans la tragédie dite des enfants de la Creuse, d'autres sont nés en France.
Le narrateur fait la relation entre la présence de ces migrants et le rayonnement de l'ex-Empire colonial français.
Fromager ou kapotier. Sénégal 1988
Utilisé pour la fabrication des pirogues
Baobab : emblème du Sénégal
Peut atteindre 25 m de diamètre
Banlieue de Dakar 1988
Île de Gorée. Sénégal 1988
Mbour. Sénégal 1988 Air Force One
Marché Kaolack. Sénégal 1988
Port-au-Prince 2004. Monument du bicentenaire de l'Indépendance
Port-au-Prince 2012 Le Rex Théâtre délabré
Port-Salut (Haïti) 2012
Île de la Réunion. 2001
Île de la Réunion 2001
Île de la Réunion 2001
Sourire d'enfant
Région Saint-Denis de la Réunion 2001
Sud Réunion
Marché Fort-de-France 1990
Basse-Terre Guadeloupe 1989
09:59 Publié dans Livre | Tags : france noire, migrants | Lien permanent | Commentaires (0)
11/01/2015
Extrait HISTOIRES DE MIGRANTS : un Sénégalais
On comptait tant sur Abderamane dans un pays qui vivait en grande partie de transferts extérieurs faramineux, supérieurs à ceux de ses voisins. Le Sénégal est très pauvre en richesses naturelles. Le pays vit de la pêche, du tourisme et surtout de l'agriculture pour 70% de la population. Les nouvelles politiques agricoles et industrielles mises en place avaient échoué. La production arachidière qui assurait l'essentiel des recettes de l'État dans les années 60-70 était en déficit. Le Fonds Monétaire International avait imposé au président Diouf un plan d'ajustement structurel. Ce qui en clair signifiait que l'Etat sénégalais avait dû dégraisser, licencier. Plein de petits fonctionnaires, soutiens de familles, étaient passés à la trappe. Les villages mouraient. Les petits commerces fermaient, faute de clients, à commencer par les épiceries. Le pays devait faire face en 1988 à une invasion de criquets pèlerins qui résistaient aux insecticides et ravageaient les champs agricoles
Tout compte fait, Abderamane pensa que le retour serait pour plus tard.
Village sur le route de la Casamance.1988
Sénégal 1988. Invasion de criquets
Marché de Kaolack. Sénégal 1988
Petite Côte. Sénégal 1988
Petite Côte. Sénégal 1988
09:58 Publié dans Livre | Tags : afrique, migration. france noire | Lien permanent | Commentaires (0)