14/06/2018
QUELQUES JOURS À LA PAZ, capitale administrative de la Bolivie (3600 à 4100m d'altitude).
Avril 2012
"Camina lentito, come poquito…y duerme solito" (marche lentement, mange peu …et dors seul) pour éviter le mal d'altitude et profiter pleinement de ses marchés et de l'animation quotidienne des rues.
07:41 Publié dans Voyage | Tags : la paz. bolivie | Lien permanent | Commentaires (0)
13/06/2018
DANS LES HAUTEURS DE LA CITÉ MINIÈRE DE POTOSI (BOLIVIE)
Mars 2012
A plus de 4000m d'altitude, il fait frais à Potosi . On peut être gêné par le manque d'oxygène et une certaine pollution de l'air. La ville est inscrite au Patrimoine mondial de l'Unesco.
La cathédrale de Potosi, de style néoclassique.
Quelques vues de Potosi
Procession en l'honneur de San Juan de Dios
Après la procession, défilé en costumes de Carnaval
Le Cerro Rico et ses mines d'argent dominant la ville.
Les Espagnols ont exploité ces richesses pendant 4 siècles.
L'espérance de vie des mineurs indigènes est de 45 ans.
Manifestation des producteurs de coca
17:46 Publié dans Voyage | Tags : potosi, bolivie | Lien permanent | Commentaires (0)
12/06/2018
QUELQUES JOURS DANS LA VILLE BLANCHE DE SUCRE (BOLIVIE)
Mars 2012
Pour parcourir les 610 km qui séparent Santa Cruz de Sucre, le bus prend 15 à 20 heures. L'avion met seulement 30 minutes. Mais les horaires sont aléatoires car la visibilité est réduite à Sucre quand les nuages sont abondants. De plus, les pistes d'atterrissage sont courtes. Notre vol de la compagnie Aérosur est retardé d'une heure et demie. À 2750m d'altitude, la capitale constitutionnelle de la Bolivie est incontestablement la plus belle ville du pays.
12:51 Publié dans Voyage | Tags : sucre, bolivie | Lien permanent | Commentaires (0)
11/06/2018
CE JOUR-LÀ AU MARCHÉ DE TARABUCO (BOLIVIE)
Mars 2012
À une soixantaine de km au sud de Sucre, le pittoresque marché dominical du village de Tarabuco est parmi les plus fréquentés du pays. Les différentes communautés de la région viennent y vendre leur artisanat.
Feuilles de coca
.
12:35 Publié dans Voyage | Tags : tarabuco, bolivie | Lien permanent | Commentaires (0)
CE QUE J'AI VU CE JOUR-LÀ SUR LA PLAZA 24 DE SEPTIEMBRE. SANTA-CRUZ (BOLIVIE)
Février 2012
La place principale de la ville la plus peuplée de Bolivie accueille les Crusteños de jour comme de nuit. Les gens font la pause, écoutent la musique camba. Les vendeurs ambulants font leur tour et proposent des brochettes,des saucisses, des hamburgers, des cafecitos, de la chicha...Les amoureux se bécotent, les enfants s'amusent, courent après les pigeons. Les perruches n'arrêtent pas de jacasser et de sauter d'un arbre à l'autre. L'atmosphère est agréable, reposante et festive.
10:41 Publié dans Voyage | Tags : santa cruz, bolivie | Lien permanent | Commentaires (0)
10/06/2018
Ce jour-là : RENCONTRE AVEC DES MENNONITES À SANTA CRUZ (BOLIVIE)
Février 2012
Des familles entières de blonds aux yeux bleus quittent ce matin le Mercado de los Pozos de Santa Cruz. Les hommes revêtent indistinctement des salopettes bleues ou noires et des chemises à carreaux aux longues manches. Ils ont belle allure sous leurs chapeaux de paille. Les femmes, lunettes, robes fleuries, bras recouverts par leurs chemisiers, portent toutes des bas, des chaussures plates et des chapeaux de paille à larges bords. Même les enfants ont la tête couverte.
Une fine pluie les invite à s'abriter sous les auvents. Ils discutent entre eux. Ils ne répondent pas aux sourires et n'apprécient pas qu'on les prenne en photo. "Ce sont des Mennonites" me glisse ma femme.
On les voit participer à une tombola en glissant de temps à autre leurs bulletins dans l'urne pour espérer gagner la rutilante calèche en métal noir qui est exposée. La calèche, tirée par des chevaux, constitue leur moyen de locomotion préféré.
Un homme d'une cinquantaine d'années accepte de répondre à quelques unes de nos questions : ses grands-parents, originaires du Canada, ont émigré au Mexique où il naquit lui-même. On dénombre une vingtaine de communautés de Mennonites dans le sud de Santa Cruz et celle de Bolivie est la plus importante de toute l'Amérique Latine : 70.000 membres.
17:27 Publié dans Voyage | Tags : mennonites, santa-cruz | Lien permanent | Commentaires (0)
09/06/2018
DES MUSICIENS OFFRENT LEURS SERVICES. SANTA CRUZ (BOLIVIE)
Février 2012
Nous sommes sur la Plaza del avion pirata. La légende raconte que cet avion appartenant à des trafiquants aurait été intercepté par la police et laissé sur place pour l'exemple.
C'est à cet endroit de Santa Cruz que se réunissent des groupes d'hommes qui sont en fait des musiciens. Les Cruzeños en quête d'un orchestre (una banda) viennent ici et font leur choix. Les demandes sont très fortes les samedis.
09:11 Publié dans Voyage | Tags : santa cruz, bolivie; musiciens | Lien permanent | Commentaires (0)
08/06/2018
LE TOBOROCHI. SANTA CRUZ (BOLIVIE)
Février 2012
Originaire des régions tropicales et subtropicales d'Amérique du Sud, l'Arbol Botella (arbre bouteille) ou TOBOROCHI, comme on l'appelle en Bolivie, est un arbre original et imposant qui donne des fleurs roses. Avec son tronc à bulbe creux, il rappelle le baobab.
09:33 Publié dans Voyage | Tags : toborochi, santa cruz, bolivie | Lien permanent | Commentaires (0)
23/05/2018
SOUVENIRS DE COLOMBIE
La réélection de Nicolas Maduro en ce dimanche 20 mai à la présidence du Venezuela me ramène sept ans en arrière, plus précisément dans les premiers mois de 2011, où j'ai satisfait à ma curiosité de connaître le pays du très médiatique Hugo Chavez.
J'ai planifié de mettre le pied d'abord en Colombie. Une destination qui s'est révélée facile, stupéfiante et pleine de contrastes. J'ai évité Medellin et aussi le parc archéologique San Augustin pour cause de guérilla bien qu'il soit l'un des plus importants sites d'Amérique du Sud.
Les Colombiens que j'ai rencontrés tout le long de la traversée du pays se sont montrés ouverts et accueillants. La plupart m'ont formellement déconseillé de me rendre au Venezuela car, selon eux, "l'économie du pays est exsangue, l'insécurité quotidienne et ses habitants rustres puisque préoccupés uniquement à survivre".
L'avion a atterri à Bogota, plus précisément Santa Fé de Bogota, la capitale de la Colombie, située à 2600 mètres d'altitude.
Janvier 2011
Au musée de l'or de Bogota
Des photos de La Candelaria : centre historique et colonial de la ville
A La Fondation Botero
Villa de Leyva, au nord-ouest de Bogota, l'un des plus anciens villages coloniaux.
Barichara, l'une des plus belles petites villes coloniales.
Cali, 3e ville du pays, réputée pour ses belles femmes !?
Popayan, joyau architectural,
sur la frontière avec l'Equateur
Silvia, son marché hebdomadaire
où les Indiens Guambiano vendent leurs récoltes.
Février 2011
Carthagène, sur la côte caraïbe,
un bijou de l'architecture coloniale hispanique.
Février 2011
Parc de Tayrona, sur la côte atlantique,
non loin de Santa Marta.
15:23 Publié dans Voyage | Lien permanent | Commentaires (0)
DE SANTA MARTA (COLOMBIE) A MARACAÏBO (VENEZUELA)
Pour quitter la Colombie vers le Venezuela, quelle frontière est la plus sûre, Cucuta ou Maicao ? J'entends dire qu'il faut absolument éviter la zone FARC, que le mieux est de se renseigner auprès des habitués du trajet, de prendre ainsi le pouls de la situation.
Je me rends plusieurs fois au terminal des bus de Santa Marta - quoiqu'il soit très excentré - et finis par rencontrer une Vénézuélienne qui s'adonne au commerce de compléments alimentaires de la Colombie vers son pays d'origine. Elle me conseille une compagnie d'autocars très fiables qui traversent la frontière à Maicao (210 km) et qui continuent pour Maracaibo (Venezuela).
J'opte pour ce choix et je pars de Santa Marta le lendemain vers 12h.
À l'approche de la frontière, le chauffeur passe à travers les passagers pour une quête au bénéfice du douanier en vue d'éviter la fouille des bagages.
Quand la nuit commence à tomber, il devient de plus en plus nerveux et demande de tirer les rideaux le temps de traverser un territoire indigène, pour éviter que le bus ne soit caillassé ou attaqué.
Arrivée à Maracaibo vers minuit. La gare routière est mal éclairée et la ville est réputée dangereuse. Je m'engouffre rapidement dans l'hôtel le plus proche. La réceptionniste demande à être réglée séance tenante et en monnaie locale,refusant catégoriquement les dollars américains. Je lui propose sans succès de garder mon passeport en caution. Rien n'y fait. Essayez de faire du change au casino voisin, lance-t-elle sans ménagement.
En fait, c'est le change parallèle qui se pratique couramment. J'ai eu 8 bolivares pour un dollar américain alors que le taux officiel est de 2,15 Bs
Quelques images de SANTA MARTA et de ses PLAGES
Maracaibo, capitale de l'état de Zulia, le plus riche du pays avec son pétrole.
Iglesia de Santa Barbara
Basilique de la Chiquinquira
Rue Carabobo, fraîchement aménagée
Taxis collectifs déglingués incontournables aujourd'hui puisqu'il n'y a pas de bus : les éboueurs en grève ont bloqué la circulation
.
14:57 Publié dans Voyage | Tags : santa marta, maracaibo | Lien permanent | Commentaires (0)
22/05/2018
Ce jour-là : AU VENEZUELA, DE MARACAIBO A MERIDA (dans les Andes)
Février 2011
Environ 250 km séparent Maracaibo de Mérida. Le bus emprunte le pont qui enjambe le lac Maracaibo. Au moment d'encaisser, l'ayudante me refuse le tarif sénior au motif qu'il fallait acheter le billet au guichet de la compagnie avant d'embarquer. Après d'âpres négociations et en accord avec le chauffeur, il consent à me faire une réduction.
Le paysage verdit au fur et à mesure que nous roulons. De part et d'autre surgissent des champs de cocotiers, de bananiers, de cacaoiers, de manguiers, de papayers et d'orangers tandis que des vaches paissent dans les prés. Les villages traversés semblent pauvres et les abords des routes sont jonchés de sachets et de bouteilles plastiques. Après El Vigia, les montagnes deviennent arides et si hautes qu'il faut franchir plusieurs tunnels.
Dans le bus, les passagers se lancent dans des discussions enflammées. Deux camps s'affrontent : les pro et les anti-Chavez. Ce, jusqu'à notre arrivée à Mérida.
L'air est frais. L'hospedaje Guamanchi, confortable et bien situé, me tend les bras.
Posada Guamanchi
13:51 Publié dans Voyage | Lien permanent | Commentaires (0)
21/05/2018
UNE PLEINE SEMAINE A MERIDA
Mars 2011
Située à 1640m d'altitude, au pied du Pico Bolivar (5007m), Mérida est une ville étudiante et touristique très accueillante.
Quelques images du carnaval de Mérida
A 38 km à l'ouest de Mérida, JAJI est le village andino par excellence
15:56 Publié dans Voyage | Tags : mérida, venezuela | Lien permanent | Commentaires (0)
20/05/2018
Quatre jours pour découvrir les Llanos (Far West vénézuélien)
Mars 2011
Les plaines des Llanos couvrent presque le tiers du territoire vénézuélien. La faune et la flore llaneras sont riches et splendides.
Puisque nous sommes en pleine saison sèche et que les animaux se rassemblent autour des rares points d'eau, il sera plus facile de les observer. Saisissons le tour guidé que propose la posada Guamanchi, Bravons l'altitude : jusqu'à 3500m sur une route magnifique mais très escarpée, bordée de nombreuses croix.
Juan, le chauffeur-guide nous rappelle le programme des quatre prochains jours : logement et nourriture dans un hatos (immense propriété llanera) safari en jeep, balade en bateau, promenade à cheval et enfin séance de pêche aux piranhas. Ce sera l'occasion d'écouter le Llanero, un fier gaucho, qui ne manque pas d'interpréter le jaropo, une mélodie populaire appréciée de tous les Vénézuéliens.
Sur le départ pour los Llanos. Juan charge la jeep devant la posada
Arrêt dans une fruteria
De nombreuses espèces d'oiseaux
Le Capybara. Son museau rappelle celui du cochon d'Inde. C'est le plus grand rongeur du monde.Il peut atteindre 60 kg et vit surtout dans l'eau. Sa chair a le goût du poisson et est très consommée le vendredi saint.
Des caïmans à profusion
Juan avec un anaconda : jusqu'à 8-9m de long et 100 kg
Accouplement d'anacondas. Plusieurs mâles s'enroulent autour d'une femelle.
A la pêche aux piranhas
Miam, miam
14:40 Publié dans Voyage | Tags : los llanos, venezuela | Lien permanent | Commentaires (0)
19/05/2018
SOUVENIRS DE PUERTO AYACUCHO, capitale de l'Amazonie vénézuélienne
Mars 2011
Chaleur et moiteur. Située aux bords de l'Orénoque, Puerto Ayacucho souffre de son isolement. J'ai aimé son atmosphère nonchalante, son marché artisanal et, juste en face, le musée ethnologique.
Le marché artisanal
Quelques pièces du musée ethnologique
16:17 Publié dans Voyage | Tags : puerto ayacucho, venezuela | Lien permanent | Commentaires (0)
18/05/2018
A CIUDAD BOLIVAR (VENEZUELA)
Mars 2011
Il a fallu douze heures de bus pour parcourir les 730 km qui séparent Puerto Ayacucho de Ciudad Bolivar. Le chemin a été plutôt malaisé et le paysage n'avait rien de transcendant. Me voilà dans la capitale de l'Etat de Bolivar, le plus grand Etat du Venezuela à 640 km de Caracas. C'est ici que Simon Bolivar a prononcé le discours sur son projet de Grande Colombie.
L'Orénoque, le plus grand fleuve du pays
18:13 Publié dans Voyage | Lien permanent | Commentaires (0)
17/05/2018
DE PUERTO LA CRUZ VERS ISLA MARGARITA ET SANTA FE
Mars 2011
Puerto La Cruz est une des principales destinations touristiques du Venezuela grâce aux plages et aux îles voisines.
Quelques photos de Puerto La Cruz
Isla Margarita, île touristique par excellence. Plaisirs balnéaires, temple du shopping. Cette zone franche aligne de luxueux centres commerciaux avec restos et boutiques de toutes sortes. On paie en devises.
Santa Fé, 40 km à l'est de Puerto La Cruz, un havre de paix
12:53 Publié dans Voyage | Tags : puerto la cruz, santa fé, isla margarita | Lien permanent | Commentaires (0)
16/05/2018
SOUVENIRS DE CARACAS
Avril 2011
Dernière étape de mon voyage : Caracas.
Située à 950 m d'altitude, la capitale du Venezuela jouit d'un climat agréable.
Certains Caraquenos n'ont pas cessé de me rappeler qu'il s'agit d'une des villes les plus dangereuses au monde, qu'il ne faut pas s'aventurer dans le métro, qu'il ne faut monter que dans les taxis à plaques jaunes qui sont des taxis officiels. D'autres m'ont conseillé de ne pas porter de bijou (remiser même les alliances).
J'avais compris, pour avoir déjà sillonné le pays, qu'il était coupé en deux : les opposants à Hugo Chavez (la classe aisée) qui dénigraient tout et... les autres. Pas de demi-mesure. Et les opinions s'exprimaient avec passion. Deux mondes irréconciliables.
Cela ne m'a pas empêché d'explorer Caracas, du moins les quartiers riches et de revendiquer ma condition de touriste en sortant souvent l'appareil photo.
J'ai rapporté dans Histoires de migrants ma bouleversante rencontre avec Jean-Baptiste, un Port-au-Princien qui faisait partie d'un réseau de clandestins :" Dans l'impossibilité de partir pour les Etats-Unis ou le Canada, je suis venu ici dans les années 90. J'ai commencé par vendre des vêtements à la sauvette et sur les marchés puis, comme la plupart de mes compatriotes, j'ai été vendeur ambulant de maïs bouilli, de mangues hachées avant d'être recruté par le réseau des vendeurs ambulants de crème à la glace, une vraie mafia aux mains des Colombiens et des Haïtiens hispanophones bien implantés ici...
Les conditions de travail sont des plus déplorables. Nous redoutons les saisons de pluie et les vacances scolaires pendant lesquelles les écoliers ne traînent plus dans les rues. Si la vente baisse, on est renvoyés séance tenante. Vendre des glaces fait partie des occupations considérées comme les plus méprisées, les plus déshonorantes à Caracas. La Police sait que nous n'avons pas de papiers et nous prend pour des sous-hommes. On nous appelle les Papas de crème à la glace. Je suis un heladero haïtiano."
Rues de Caracas
Heladeros haïtianos
Je repense aux Llanos
Un dimanche à El Hatillo, dans la banlieue de Caracas
Un barrio (favela)
Dans le teleferico du Parque Nacional El Vila
Caracas vue du Parque El Vila
17:03 Publié dans Voyage | Tags : caracas, venezuela | Lien permanent | Commentaires (0)
27/03/2018
A DELHI, CAPITALE DE l'INDE
Mars 2018
OLD DELHI
La grande Mosquée Jama Masjid
Le Fort Rouge
Temple Sikh
Un masala dosaï : crêpe de farine de lentilles et de riz farcie de pommes de terre
Le quartier tibétain
Le métro de Delhi
NEW DELHI
India Gate
KrishnaTemple
Lodi Garden
Government Buildings
Visite du président français,
les drapeaux indiens et français flottent côte à côte.
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26/03/2018
LA REMONTÉE DU KÉRALA (Sud-Ouest de l'Inde) DE TRIVANDRUM À COCHIN
Désir d'ailleurs ? Désir d'Inde ?
Mais aussi un désir de se laisser vivre dans l'une des régions les moins polluées du pays, parmi des milliers de cocotiers, un désir d'emprunter son énorme réseau de canaux ou backwaters, de se prélasser sur le sable blanc des plages kéralaises. Un désir enfin de retrouver une Inde tolérante et d'échapper un peu à sa légendaire pauvreté. Les photos suivent.
Février 2018
COCHIN (KOCHI) : une des étapes les plus agréables
En attente du coucher de soleil
Le lungi (une sorte de sarong) peut se transformer en une jupe courte. Très pratique quand un homme a chaud.
Enormes filets de pêche chinois fixes suspendus sur de longues perches.
On assiste en fin d'après-midi au retour des pêcheurs et à la criée
ALLEPEY ses canaux,ses houseboats et sa plage.
Ce jour-là, 8 heures de croisière sur le canal principal des backwaters de KOLLAM à ALLEPEY
SUR LES FALAISES DE VARKALA :
SOLEIL, AYURVEDA, YOGA
Ce jour-là à TRIVANDRUM, capitale du Kérala,
ambiance autour du Temple Padmanabha Swamy
Ce dimanche à KOVALAM BEACH, 16km de Trivandrum
17:38 Publié dans Voyage | Lien permanent | Commentaires (0)
25/03/2018
ESCAPADE AU SRI LANKA
Ayubowan (bonjour en cinghalais)
J'avais visité le Sri Lanka en 1990. C'était l'époque de la guerre civile entre Cinghalais et Tamouls. Colombo, la capitale, ressemblait alors à une place-forte.
La guerre terminée, l'île a connu un rapide développement économique. Les habitants sont souriants et accueillants. Les touristes affluent de toutes parts et font table basse sur le rice and curry.
Malheureusement, des émeutes ont éclaté très récemment dans le centre de l'île où une vague de violence a sévi contre la minorité musulmane.L'état d'urgence a été déclarée et les écoles de Kandy fermées. Pourvu que ce climat nauséabond ne dure pas.
Ci-dessous une sélection de photos de cette île merveilleuse.
Janvier 2018
LE COLOMBO MODERNE
AVEC SON WORLD TRADE CENTER
LE ROCHER DE SIGIRIYA
dans le triangle culturel
DAMBULLA
avec son Golden Rock Temple
POLONNARUWA, capitale au 12e siècle
KANDY, son temple de la dent de Boudha et son lac
Une semaine au Marvel Hills. Un séjour merveilleux.
Sarath et sa femme sont des hôtes exceptionnels
Nous sommes devenus amis.
UNAWATUNA, dans la baie du même nom
GALLE, avec son fort
et ses ruelles pittoresques
NEGOMBO, une petite ville de pêcheurs
14:39 Publié dans Voyage | Lien permanent | Commentaires (0)
16/05/2017
Ce jour-là à RANGOON, capitale de Myanmar (anciennement Burma ou Birmanie)
Février 2017
Si Rangoon est en pleine métamorphose depuis l'ouverture du pays en 1990, si les investisseurs du monde entier y affluent (notamment les Chinois), on la désigne encore sous l'expression de : la ville aux pagodes d'or.
Arpentons aujourd'hui ses rues embouteillées, observons les façades souvent défraîchies de ses immeubles, traversons ses marchés de plein air et réfugions-nous dans ses pagodes : la Shwedagon d'abord, la plus belle du monde puis la Sule Pagoda dans le downtown.
SHWEDAGON
SULE PAGODA
15:23 Publié dans Voyage | Tags : rangoon, birmanie | Lien permanent | Commentaires (0)
15/05/2017
Ce jour-là au LAC INLÉ (Birmanie)
Février 2017
Je pose mon vélo au bord du chenal de Nyaungshwe d'où des pirogues à moteur partent pour le Lac Inlé situé à environ 4 km.
Verrai-je, comme jadis, des pêcheurs Intha, une minorité ethnique, debout sur leur pirogue et pagayant d'une jambe ? Leurs mains restant libres pour lancer la nasse qui attrapera les carpes.
Le trafic est intense sur le chenal. Plein de barques à moteur qui rivalisent de vitesse d'où sortent des effluves de pétrole envahissant l'air ambiant.
Au débouché du canal, deux Intha prennent la pause pour les touristes en manœuvrant la rame de leur jambe. En fait, la traditionnelle et originale technique de pêche a été complètement abandonnée.
Heureusement, le lac Inlé, entouré de montagnes, est toujours aussi magnifique. Il est parsemé de villages avec des habitations sur pilotis et des temples pleins de ferveur.
18:01 Publié dans Voyage | Tags : lac inlé | Lien permanent | Commentaires (0)
Ce jour-là à BAGAN (Birmanie)
Février 2017
Lors de ma première visite ici il y a 25 ans, Bagan était un petit village. Aujourd'hui, la ville se divise en trois parties : Nyaung Oo au nord, Old Bagan au centre et New Bagan au sud. Le scooter électrique de location est le meilleur moyen pour découvrir ces différents quartiers et le site archéologique.
Je me lève tôt, avant que le soleil ne tape trop et je pars à la visite des temples et des pagodes. Ils sont des milliers. Je suis plongé hors du temps.
08:17 Publié dans Voyage | Tags : bagan, birmanie | Lien permanent | Commentaires (0)
14/05/2017
Ce jour-là à PAKOKKU (BIRMANIE)
Février 2017
Pakokku est une petite ville birmane située sur les bords du fleuve Irrawaddy, non loin de Bagan. Au cours de ma promenade dans ses ruelles pittoresques, je suis séduit par le charme et la gentillesse des habitants.
Une escale agréable dans le centre du pays, loin du flot de touristes.
11:28 Publié dans Voyage | Tags : pakokku, birmanie | Lien permanent | Commentaires (0)
13/05/2017
Ce jour-là à MANDALAY (BIRMANIE)
Février 2017
Je me fraye difficilement un passage dans des ruelles congestionnées de la seconde ville de Birmanie
Les Birmans se distinguent vraiment de leurs voisins asiatiques. Malgré les risques de cancer de la bouche et de la gorge, les hommes, en particulier, sont légion à avoir les lèvres et les dents rouges parce qu'ils mâchent du bétel, ce mélange de tabac, de noix d'arec, de chaux et parfois d'épices contenu dans des feuilles fraîches de palmier à bétel.
J'ai du mal à comprendre leurs propos car ils parlent la bouche pleine.
Ces petites feuilles vertes de bétel ont un effet stimulant et la noix d'arec est un anti-douleur.
Ce sont plutôt les pauvres qui chiquent le bétel.
Ce qui frappe aussi le regard, c'est que les femmes et les enfants birmans ont, pour la plupart, le visage badigeonné d'une pâte jaunâtre, anti-rides, anti-coup de soleil, anti-acné et anti-mycosique qu'on appelle : tanaka. La poudre se répand tantôt sous forme de deux ronds couvrant les joues, tantôt sous forme de dessins artistiques.
Les étals de buchettes de tanaka fleurissent sur tous les marchés. Il ne reste plus qu'à râper le bois et ajouter un peu d'eau à la poudre.
Le tanaka se vend aussi en boîte, déjà préparé.
On en trouve sur Internet.
C'est le maquillage préféré des femmes birmanes.
14:55 Publié dans Voyage | Tags : mandalay, birmanie | Lien permanent | Commentaires (0)